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Bosson (1674 Vuarmarens) 7.5 m2 ECS,Rénovation. Juin 2001.




Fiche technique

Les propriétaires :
Elle : employée de bureau.
Lui : cartonnier, technicien en emballages

Type :
Installation solaire ECS avec appoint mazout.

Accumulateur :
Austria Email 500 litres à deux registres.
Isolation 7cm PUR, manteau métal
2 Echangeur de chaleur 1" de 1.2 m2 et 2.2 m2.
Ouverture pour appoint électrique non utilisée.
Anode de protection magnésium contre la corrosion.
Agréé SSIGE garanti 5 ans.

Régulation/cpt de chaleur :
TEM S3.2 avec compteur de chaleur incorporé
Débitmètre à impulsion WEM15 RE1 + doigts de gants et sondes

Circulateur :
PAW 25-40.

Vase d'expansion :
Reflex type N, 35 litres.

Capteurs :
K6 Sélectif, test de qualité SPF172, 7.5 m2
Intégration en toiture, ferblanterie périphérique cuivre.

Circuit solaire :
Cuivre DN18
Antigel Motorex Glythermin GP42. Proportion 35% pour –18°C
Isolation coquilles Vetroflex alu 30mm

Circuit ECS :
Mitigeur thermostatique.

Production :
Simulée Polysun : 3'500 kWh/an. Mesurée : mesures en cours.

Coût hors subventions :
En valeur brute : 6'900.- connexion ECS et chauffage, TVA, licence et RPLP compris. En valeur d'usage, après déduction du coût d’un chauffe-eau de toute façon nécessaire : 4'900.-

Coût après subventions :
2’550.- en valeur d'usage.

Coût du kWh utile :
Durée de vie 20 ans, simulé : 3.6 centimes.

Si l'on veut comparer ce coût avec le coût du kWh utile produit par une installation à énergie fossile, il importe de prendre en compte le coût du combustible fossile plus celui de l'installation plus celui des charges annuelles (raccordement, entretient, ramonage etc.) et de savoir en outre que, de manière générale, la durée de vie d'un système fossile actuel est de l'ordre de 15 ans, et non 20 ans ou d'avantage pour un système solaire.
Galerie

Vue générale de l'excellente intégration du champ. Les toits triangulaires laissent toujours moins de place. Les 7.5m2 du champ ont du être placé une longue bande, avec un bon effet esthétique et au prix de plus de longueurs de lignes et de ferblanterie.
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Voilà ce qu'on appelle de l'INTEGRATION en toiture. A ne pas confondre avec des capteurs posés comme autant de caissons disgracieux sur les tuiles, et qui sont pour beaucoup dans la réputation d'inesthétisme qui colle encore au solaire.
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Vue par dessus
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Détail : purge qui sort à travers la tuile de faite entre deux pans.
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Détail : passage du verre à la ferblanterie en fond de champ. Cette manière de faire est en général FAUSSE, car l'eau qui coule dans le profilé passe dans la sous-toiture. C'est acceptable dans ce cas précis car le champ solaire fait un verre de hauteur et le haut du caoutchouc de couverture est bouché au silicone (visible sur le détail de purge).
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Lignes d'amenées et de descente. Dans tube brun PVC qui a le même aspect final que la descente d'eau pluviale. Oui : l'isolation des lignes n'est pas terminée.
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Vue de l'arrivée en local chaudière
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Détail : un siphon est nécessaire en sortie d'eau chaude pour éviter que l'accumulateur solaire ne se vide par thermosiphon dans le bâtiment. Cette précaution est en général omise par les installateurs sanitaires dans le domaine du fossile, car la perte est occultée par le fonctionnement en ligne de la chaudière.
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Détail : quand il n'y a pas de place au sol, les vases d'expansions vont aussi bien au mur ou au plafond.
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