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Houlmann/Pasche (2885 Epauvillers) 12 m2 ECS & appoint chauffage,neuf



12m2 sur support, neuf, sur garage (faut bien que tout ce béton serve à quelque chose). Entre le 15.12.2021 et le 31.12.2023, soit pour 8.5 mois de période de chauffe, ont été brûlés 67 sacs de granulés soit donc 8/8.5*67*15*5 = 4'730 kWh soit 2365 kWh/an soit 1.18 stères de feuillu équivalent. Le bureau Lutz qui à fait le bilan du bâtiment de 145m2 SRE aboutit à 52 kWh de besoins, ce qui après ajout des besoins SIA pour l'ECS et les pertes techniques de 20% aboutit à une consommation annuelle moyenne de 11'942 kWh. Donc les kWh de bois restants sont équivalent à un taux de couverture des besoins de 19.8% ce qui revient à dire que directement et indirectement l'installation solaire thermique contribue ou permet de contribuer pour 80.2% des besoins. Ce qui ferait donc 11'942-2'365 = 9'577 kWh/an pour 12m2 d'absorbeur net donc 798 kWh/m2 an. Ce qui est à notre avis impossible : une partie de ces kWh sont dus au comportement et au mode de vie de habitants dans le bâtiment, mais l'installation ST aide à tirer le max de ce mode de vie. Il en reste pas moins que même si une partie de ces kWh seulement peut être attribuée au ST que cela enfonce les estimations du formulaire Minergie et des programmes de simulation officiels. Mais ca, ca fait juste 25 ans qu'on le dit.

Et il y a un Conseil d'Etat qui affirme publiquement en 2024 que le ST sert à faire "qu'un peu d'eau chaude sanitaire". Mal informé ou à dessein menteur ? A l'heure où l'électrification forcenée de la société sert de Cheval de Troie au retour du nucléaire, on ne sait laquelle des deux hypothèses est la pire. On en restera à ce point d'interrogation pour des questions légales.

Galerie

2021. Notre premier absorbeur dans son emballage papier
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2021. L’arrivée des lignes en fouille sur le toit du garage, avec la mise en place des dalles qui porteront le support de champ
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2021. Fixations vissées dans la dalle pour les tubes de support de champ et le méplat de contreventement
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2021. Les poutres sont fixées sur les tubes
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2021. OSB en place, ainsi qu’un début de lestage en granit recyclé et le contreventement avant-arrière
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2021. Fixation des contreventements latéral en méplat et avant-arrière en tube
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2021. Mise en place de la laine de roche, lignes de distribution, trappe pour accéder à la sonde, et autour les absorbeurs dans leur emballage
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2021. Liaisons entre les absorbeurs dans les encoches
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2021. Premier verre posé !
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2021. Pose de la ferblanterie
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2021. Le champ de capteurs terminé, pente de 60° et orientation idéale au sud – légèrement sud-ouest (cela améliore un petit peu la production globale, du fait que l'air est plus chaud en fin de journée, le capteur perd donc moins vers l'environnement).
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2021. Début de l’isolation du Jenni, hauteur 3 mètres, diamètre 80 cm.
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2021. Merci à Xavier, super apprenti, pour son aide notamment dans les passages aériens quelque peu étroits !
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2021. L’arrivée des lignes en fouille dans une fosse du local technique
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2021. Groupe hydraulique, soupape de sécurité du circuit solaire avec sortie pour connecter le bidon, ligne du VE solaire avec son thermosiphon
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2021. La partie basse du Jenni avec sur l’arrière le thermosiphon qui mène à son VE et le mano. Devant, la sortie de l’échangeur du haut qui conduit à la vanne 3 voies, l’entrée ECS au bas du champignon, les entrée et sortie de l’échangeur du bas et la vanne 3 voies. Les tuyaux rouges sont ceux du poêle hydraulique à granulés, pas encore connectés sur le Jenni.
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2021. La partie haute du Jenni avec son groupe sécurité, le mitigeur, l’entrée de l’échangeur du haut, la résistance électrique pour assurer le hors-gel de la maison en cas d’absence de soleil et d’impossibilité de faire du feu, et les connexions destinées au poêle et au chauffage
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2021. VE du Jenni à gauche, du circuit solaire à droite
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2021. Le câblage de la Sora
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2021. Le montage final avec l’isolation en place. Les tubes isolés en plastique gris sont ceux du chauffage (installation faite par le chauffagiste) et de l’ECS, les tubes isolés en alu sont ceux du circuit solaire. A droite au premier plan, la pompe à eau de pluie de la maison
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2022. Une vue du champ terminé. Le canplast qui protège les lignes a été depuis 'caché' dans un caisson qui le met à l'abri des UVs. Sinon on aurait eu après quelques années cela cf image suivante
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2022. Vue générale. On voit que la forte pente des capteurs thermique, outre le fait que le ST chauffe et fait donc fondre la neige plus facilement, empêche son accumulation, au contraire des panneaux photovoltaïques sur le toit, handicapés et par le fait qu'ils ne chauffent pas, et par leur faible pente. Des panneaux qu'on voit encore imparfaitement dégagé au moment de la photo, avec la neige à droite qui coupe au moins la production d'une série de panneaux. A moins d'un micro-onduleur pour chaque panneau, ce qui pose des problèmes d'entretien à long terme, à mesure qu'ils 'pêtent' non pas tous en même temps, mais selon une distribution de poisson autour de leur espérance de vie moyenne (de l'ordre de 10 ans pour un onduleur).
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2022. Une autre vue du champ solaire thermique
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2022. Et une autre vue générale.
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