| Vue de loin. Il ne faisait pas très beau ce jour-là...
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| Et en perspective à raz le toit, histoire de comprendre ce que les mots IN-TE-GRA-TION-DANS-LA-TOI-TU-RE veulent dire.
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| Détail ferblanterie de derrière au raccord du couloir
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| Petit spécialité de Stéphane Krattinger : une petite liste qui permet de finir le champ, poser les vitres, et poser la ferblanterie ensuite.
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| Raccord ferblanterie de devant. On remarque le petit joint U qui empèche le contact entre l'alu et le cuivre, source de corrosion par électronégativité différente. Aspect dont on se demande de plus en plus, au vu de nos expériences avec d'autres ferblantiers, s'il est encore enseigné aux ferblantiers lors de leur CFC... Mais il est vrai que l'apprentissage traverse une bien mauvaise passe, avec le taux d'échec et le niveau qui ne cessent de baisser.
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| Arrivé des lignes. Les lignes solaire sont celles à gauche.
Celles à droite sont celles de la PAC du bâtiment.
Comme on le voit c'est très cougné et il a fallu utiliser une life-line chère avec un revètement spécial qui permet de glisser des lignes dans des passages étroits.
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| Vue globale. On remarque deux erreurs.
La première est que le corps de chauffe électrique a été placé trop haut, ce qui fait qu'en cas de mauvais temps, le volume chauffé par l'électricité de nuit est insuffisant et donc soit la famille manque d'eau chaude, soit il faut recourir à de l'électricité de jour. Ce défaut a été corrigé : le corps de chauffe électrique a été redescendu à mi-hauteur.
La seconde est que si la ligne du vase d'expansion est assez longue et non isolée, ce qui est correct, le siphon manque. Il y a donc un risque qu'à la longue, par thermosiphon interne au tube, l'eau chaude du circuit solaire ne vienne en été cuire la membrane du vase d'expansion. L'installation solaire étant sous garantie, si le VE pète, l'installateur devra revenir le changer à ses frais.
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