| Une fois n'est pas coutume, pour faire durer le plaisir on commence à la cave. Vue du chauffe-eau de 800L qui a finalement pu être descendu à la cave. A l'origine un 600L était prévu, mais le surcoût du 800L valait amplement la peine.
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| Groupe hydraulique au fond. A droite, les lignes de charge du haut du chauffe-eau par le fossile. Isolées, ce qui est peu fréquent. Normalement les chauffagistes, mauvaises habitudes prises du temps du baril à 20 dollars oblige, ne se donnent pas la peine de les isoler. De toute façon c'est le client qui paie les pertes, n'est-ce pas ? "Et si ça perd un peu, ça sèche le linge ma p'tite dame!"
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| Vue sur l'échangeur solaire, avec le siphon anti-thermosiphon interne non isolé, comme il se doit. Un peu de gesticulations pour mener proprement la soupape au bidon. Par derrière, l'arrivée ECS froid en inox. On voit aussi partir au fond à droite, en cuivre, la ligne vers le vase d'expansion
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| Lequel se cache en haut au-dessus du chauffe-eau. Au moins là il n'encombre pas.
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| Mitigeur avec l'arrivée de l'ECS chaud à droite via un siphon anti-thermosiphon interne non isolé.
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| L'appoint, soit une chaudière à gaz à condensation.
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| Les lignes de charge du gaz en bas, celles du solaire en haut.
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| Et vue de comment elles arrivent sur le chauffe-eau.
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| Du côté du photovoltaïque, trois onduleurs
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| Vue du tableau
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| Et des trois compteurs
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| Tout cela doit bien aboutir sur le toit. Voici la pièce au-dessous des capteurs
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| Lesquels occupent le maximum du toit. Ca n'a pas du être de tout repos que d'intégrer ces capteurs sur une toiture de si forte pente. On est loin du charriage du gravier sur toit plat, tâche à la portée de n'importe qui.
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| Belle vue avec le soleil en reflet. Le système d'intégration est le même pour le photovoltaique que le thermique.
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| Le champ thermique est un 1x5. En fait il est parallélisé interne en 2x(1x2.5), ce qui réduit de manière très confortable les pertes de charge et permet de rester en DN12. Pour la parallélisation interne, cf. beaucoup d'autres exemples sur ce site, par exemple les réalisations d'Eric Racheter (http://www.sebasol.info/realisations.asp?id=452 etc.).
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| Vue de côté du champ thermique. Plutôt que de tailler des bouts de tuile qui auraient de toute manière mal tenu, un plaquage zinc de la même apparence que la ferblanterie, a été placé entre le champ et le vélux.
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| Comme on peut le voir ici
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| Pour la ferblanterie, le zinc a évidemment été choisi parce qu'il se marie bien à la couleur de l'éternit
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| Raccord au champ photovoltaïque : c'est le même profil et la même gomme qui tiennent le champ thermique d'un côté et le photovoltaïque de l'autre.
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| A peu de chose près, les exigences sont les mêmes : le profil doit aussi sortir de la ferblanterie de manière à mener l'eau qu'il récolte en bas.
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| Sur cette photo assez médiocre, on remarque que les champs ne dépassent pas le rebord de faîte. Impeccable.
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