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Maire (1291 Commugny) 13,5 m2 ECS & appoint chauffage,rénovation





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Schéma de l'installation (format PDF)


1. Tout a commencé un matin de mars quand avec l'aide d'un jardinier nous avons creusé une tranchée sous la terrasse en béton lavé afin d'y tirer "la ligne" qui reliera le toit de l'annexe où seront installés les capteurs et la buanderie qui accueillera le Jenni et le groupe solaire . L'isolation haute température ne glisse pas facilement sur le cuivre de la torche de 18 surtout sur de grandes longueurs (12m). C'est finalement le savon noir qui résoudra le problème bien qu'il semble que de l'eau aurait suffit !
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2. On s'affaire autour de l'introduction dans le bâtiment. Pendant que le jardinier creusait, je perçais non sans peine avec la perforeuse professionelle de Sergio et une mèche de 26 qui avait une fâcheuse tendance à coincer. On observe que les 2 tubes isolés à enfouir ont été protégés avec un tuyau annelé de 12.
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3. Voilà, la ligne est enterrée et il n'y a plus qu'à renflouer et tasser un peu la fouille. Affaire vite conclue par des pros: commencée à 8:15 et terminée avant midi avec une terrasse remise de niveau et impeccable.
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4. Ici, le tube de 18 vu de l'intérieur, tube qui a été isolé avec du ruban adhésif isolant spécial pour le passage du mur. Pourquoi 4 trous ? Deux pour la ligne, 1 pour la sonde et ...un qui m'a resisté avec un fer en travers !
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5. Fernando (fils de l'autoconstructeur) donne un coup de main pour le cintrage de la ligne pour rejoindre la façade juste avant la pose des colliers. On remarque la "fenêtre" pratiquée dans le deck en mélèze (à la sauteuse) pour passer la ligne, ouverture qui sera aussitôt obstruée par les planches originales avec quelques vis.
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6. Cintrage des tubes pour les absorbeurs avec l'aide de Salva (contre-maître Sebasol) et des tables mises à disposition par l'association. L' opération est agréable et motivante car ça progresse vite !
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7. On change les rôles toujours dans la joie et la bonne humeur !!
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8. Confection du cadre pour le champ solaire avec des lattes de 100X40. Le champ solaire faisant 6,2m X 2,4m et ayant hérité des lattes de 5m, j'opte pour assembler les 4 lattes horizontales avec vis et colle et le "décrochement" conseillé dans le manuel. Les encoches sont ainsi faites en une seule passe pour les 4 lattes avec la scie circulaire et le ciseau à bois. L'opération avec le ciseau demande cependant un doigté d'expert car ça a une fâcheuse tendance à fendre où on le veut pas :-)
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9. L'absorbeur est presque terminé. Le tube une fois cintré est brasé sur 4 feuilles de cuivre avec une couche séléctive au verso. On remarque les zones noicies où les feuilles se superposent sur quelques mm. Qui dit braser dit décaper ! En effet pour éviter au décapant de souiller la partie sélective au verso par coulage ou capilarité, le tube n'est pas brasé à cet endroit tout comme aux extrêmités pour permettre le cintrage final du tube en fonction de la configuration du champ solaire.
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10. Après 3 reports consécutifs dûs au mauvais temps (avril 2008), c'est enfin le grand jour de l'installation des absorbeurs sur le toit. Avec l'aide de 2 "apprentis" nous "détuilons" très rapidement en faisant la chaîne et attaquons la pose de la 1ère latte pour le cadre du champ solaire. Sergio (à droite) vérifie la position exact du champ solaire afin qu'il n'y aie pas de surprise avec la ferblanterie qui a été exceptionnellement préparée à l'avance !
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11.Une ou deux heures plus tard, la deuxième latte est placée à l'aide des 2 lattes calibrées de 75 (voir manuel) après avoir scié les contre-lattes pour une meilleure intégration du champ - au diable le "vomit-sur-tuile" !.
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12. Le jour d'après en milieu d'après-midi, les absorbeurs sont posés sur un lit de laine de pierre avec un fond en pavatex et raccordés avec des manchons a) entre-eux 3x3 horizontalement b) à la ligne chaude en haut et c) à la ligne froide en bas. Ici pas de Tichelman car les longueurs de chemin dans les capteurs sont pratiquement identiques en configuration 3x3. Pour diminuer les perte de charge, la ligne est repassée en 22 sur le toit et en cave, la partie enterrée étant en 18 pour des raisons de plus grandes souplesse au cintrage.
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13. Plus qu'une rangées de vitres à poser. Il faudra bâcher ce soir car la pluie menace pour cette nuit.
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14. Détail de raccords en T 22-12-22 de deux absorbeurs sur la ligne froide du bas. le brasage est toujours délicat car il n'y a que très peu de place pour opérer et on met ainsi des "pattes-mouille" pour éviter de brûler la sous-couverture et le la latte en bois.
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15. Vue sur la ligne chaude isolée avant la pose de la ferblanterie.
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16. Vue sur la ligne froide en bas du champ.
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17. On voit le câble de la sonde bien attaché ...au cas où quelqu'un aurait la mauvaise idée de tirer sur le câble déjà que la sonde a une fâcheuse tendance à sortir de sa "gaine" en bronze.
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18. L'isolation dissimule les sorties complexes montante (chaude) et descendante (froide) de la ligne sur le toit. Ces sorties sont une combinaison de coudes de 45o et de 90o pour épouser l'angle du toit sans pour autant déborder sous les lattes et contre-lattes. L'isolation a été "réduite" ici de 25 à 19mm.
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19. On voit ici l'espace important laissé en haut du champ pour la ferblanterie afin de pouvoir insérer celle-ci sous les tuiles en haut et par-dessus la ligne et la vitre en bas. Deux rangées de tuiles et la ferblanterie couvriront cet espace.
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20. Dans la foulée et sans avoir à attendre que le ferblantier prennent les mesures et daigne venir installer ses tôles le plus souvent aux calendes grecques vu le taux d'occupation de la branche, c'est donc le lendemain même que Sergio attaque la pose de la ferblanterie.
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21. La pose de la ferblanterie du haut du champ est la plus délicate dans ce cas car il convient d'avoir une pente minimum pour permettre à l'eau de s'écouler. Avec un lot de planches misent bout-à-bout, le vide laissé sous les tôle est ainsi comblé. Il est bien sûr hors de question de laisser un vide sous la ferblanterie des fois que le ramoneur ou un somnanbule aient envie d'y mettre les pieds.
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22. Oups la nuit tombe et il y a un "blême" avec les quelques tuiles du haut et la ferblanterie qui ne sont pas d'accord avec l'équerre du champ solaire.
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23. Là, la nuit est vraiment tombée et on finit au projecteur halogène à 22:30. Les tuiles récalcitrantes ont été remises à l'ordre au grand dam des voisins vu la discrétion légendaire d'une disqueuse en mal de tuiles.
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24. La buanderie avant le grand chambardement. Au 1er plan, le boiler à 2 échangeurs et sa résistance électrique en bas avec thermostat. L'ECS était chauffée par la PAC air-eau non visible ici. La résistance n'a jamais été utilisée (disjoncteur OFF au tableau électrique). On voit aussi le VE qui n'a hélas pas pu être conservé dans la nouvelle installation faute de capacité. Il est à noté que le boiler et le VE ont tous deux fait le bonheur d'une famille semble-t-il en France voisine.
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25. C'est le "Jenni day" (10 avril 2008). Vu la taille de l'accumulateur de 1500l - 1m de diamètre tout nu- les escaliers tournants et 2 portes de seulement 90cm, l'accu est acheminé en 3 parties et soudé sur place. A ce stade, le monteur a soudé les 2 parties hautes dans lesquels il a mis en place le "champignon" de 160l pour l'ECS et le serpentin (échangeur du haut), éléments que l'on distingue très bien ici et qu'on a rarement l'occasion de voir. Autre détail intéressant au niveau de la main gauche du monteur: il s'agit d'un "U" en tôle soudé aux entrées et sorties de la charge et/ou décharges "chauffage" pour mieux canaliser le flux ou/et pour éviter les turbulences - à confirmer ou infirmer !!! REMARQUE SEBASOL : confirmation. Sans ces "briseurs de flux", l'arrivée de l'eau dans l'accu génèrerait des mouvements tourbillonnaires à l'intérieur du volume, qui auraient pour effet de détruire toute la stratification. Par exemple, dans le cas d'un système rationnel avec production à 35°C en bas pour le chauffage au sol, appoint électrique en haut à 55°C et stratification solaire 2 niveaux avec priorité ECS en haut, l'eau du haut pourrait être poussée en bas et remplacée par de l'eau à plus basse température du bas. Cela aurait pour effet que l'appoint électrique partirait pour chauffer cette eau, et que l'eau à 55°C envoyée en bas serait aspirées par, la distribution chauffage, avec pour effet d'obtenir du chauffage électrique, ou par la charge chaudière, avec pour effet de faire arrêter celle-ci, et toutes sortes d'autres comportements inadéquats et grands destructeurs d'efficacité et de la charge, et de la distribution, et de la production solaire. En fin de course, on pourrait avoir un volume en grande partie chauffé à 55°C par l'électricité et les vendeurs de centrales nucléaires diraient merci. Tandis qu'avec ces tôles le flux est brisé et l'eau s'écoule doucement de chaque côté, ce qui fait que par gravité elle va se mettre à la hauteur qui est la sienne sans détruire la stratification. La présence ou l'absence de ces "tôles briseuses de flux" (en allemand "Prahlblech") est, avec aussi le détail que les sorties vont vers le bas pour éviter un thermosiphonnage interne au tube, une des preuves que le constructeur de l'accu connait son métier. Un accu sans ces tôles est à jeter et AUCUN DISCOURS DU VENDEUR ne doit vous convaincre du contraire. Plus il insistera, plus il prouvera une et une seule chose : qu'il n'y connait rien et vend de la camelotte.
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26. Ne jamais regarder l'"arc" sans protection.
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27. Les 3 parties sont soudées ainsi que les entrés/sorties caractéristiques des Jenni c-à-d orientée vers le bas et... le monteur bernois très sympathique mais pas du tout francophone. Je ne vous raconte pas les problèmes de comm que nous avons subi avec mes notions d'allemand qui ont été totalement écrasées par 30 ans de pratique de l'anglais dans ma profession.
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28. Une autre vue du Jenni cette fois-çi debout. Les 2 parties du haut soudées horizontalement ont été hissées avec une mini grue-palan sur la partie du bas.
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29. Soudure de la partie basse. Il est à noter, que le carrelage a été marqué de manière permanente avec les éclats de soudure malgré la plaque de protection métallique recouverte d'un carton qu'on voit sous les genoux du monteur . La plaque que j'ai fournie était hélas beaucoup trop petite pour une telle opération car les éclats dépassent largement la zone à souder. Une protection avec du pavatex sur toute la surface de la buanderie aurait été nécessaire et malheureusement le protocole de préparation des locaux ne mentionnait pas ce point important. Jenni se défend d'avoir déjà soudé dans un tel environnement "délicat" et a décliné toute responsabilité.
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30. Le Jenni cette fois-çi habillé de sa plus belle robe bleue en place dans son nouvel environnement. N'ayant pas de mur utilisable pour accrocher le groupe solaire, j'ai fabriqué cette planche avec des pieds à vis pour la fixation entre le sol et le plafond. On voit aussi les 3 thermomètres placés pour une fois à côté de la tuyauterie selon ma commande et enfin la régulation à l'angle des goulottes à droite. REMARQUE SEBASOL : Jenni Energietechnick fait le MODELE D'ACCUMULATEUR QUE L'ON VEUT AVEC LES SORTIES OU L'ON VEUT. Tout le problème est d'avoir la tête claire et de savoir ce qu'on veut et pourquoi on le veut et ça, c'est le B-A-BA du cours et de l'apprentissage d'autoconstructeur. L'autoconstructeur qui a appris ça en sait plus que 95% des installateurs-poseurs-de-kit du marché, du moins aujourd'hui, en 2008.
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31. Le Jenni avec le groupe solaire, le compteur de chaleur, la vanne 3 voies, les raccordements aux échangeurs en cuivre et ceux à l'ECS en inox, avant isolation bien sûr.
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32. Le Jenni avec les raccordements aux échangeurs en cuivre cette fois-ci isolés avec du 25mm excepté "off course" une partie du siphon OBLIGATOIRE RunnnnntudjUUUUU !!!! REMARQUE SEBASOL : pour l'utilité des siphons Runnnntudjuuuuu voir le cours et à peu près tout ce site web...
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33. A droite en haut, l'évacuation de l'air froid de la PAC air-eau. En bas la tuyauterie ECS et chauffage. Les entrées/sorties charge et décharge sont cachées derrière l'accu. CONFIGURATION DE LA CHARGE ECS ET CHAUFFAGE Il faut tout d'abord savoir que la PAC fonctionne avec 2 cycles distincts: prioritairement l'ECS en haute température (HT) et le chauffage (au sol) en basse température (BT). Ces 2 cycles sont maintenant exploités pour la charge de l'accu lorsque le soleil est déficiant. En haut deux entrées/sorties pour l'ECS, au milieu dito pour le chauffage. La même eau (celle de l'accu et du chauffage au sol) est donc alternativement chauffée en HT pour l'ECS et en BT pour le chauffage. La régulation de la PAC gère ainsi la charge de l'accu lorsque le soleil est absent et en fonction de la température extéreiure. Le thermostat ECS et la sonde départ chauffage existantes ont été alors déplacées et replacées judicieusement sur l'accu. CONFIGURATION DU CHAUFFAGE Ont été ajouté: une pompe de circulation, une vanne mélangeuse une sonde départ chauffage et une sonde extérieure (voir figure 35). C'est la régulation solaire qui prend en charge le chauffage au sol. Quand le delta T entre la tempétature extérieure et le départ chauffage est atteint, la pompe de circulation se met en route. Selon la courbe de température chauffage (temp. int en fonction de la temp ext), la régulation va ouvrir ou fermer progressivement la vanne mélangeuse pour aller chercher quelques degrés de plus dans l'accu.
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34. Vue de la tuyauterie pour l'ECS et le chauffage AVANT les travaux
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35. Vue sur la tuyauterie pour l'ECS et le chauffage APRES les travaux. L'usine à gaz made Sergio (démence en cave n'est-pas) comprend la charge de l'accu pour l'ECS et le chauffage par la PAC air-eau et pour la décharge de l'accu pour le chauffage. On distingue: Les 2 pompes roses d'origines à droite utilisées alternativement l'une pour le cycle HT pour la charge ECS et l'autre pour le cycle BT pour la charge chauffage. Au centre, la pompe de circulation pour le chauffage et juste en-dessous la vanne mélangeuse. Tout à gauche les deux tuyaux souples de la PAC. L'isolation n'est pas encore posée à l'exception du petit bout que l'on voit en gris.
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36. Les 2 vases d'expensions (VE pour les intimes). Une place de choix entre le mur et la PAC juste sous l'entrée d'air. Le gros ( 140 litres) pour l'accu et le circuit de chauffage, le petit (80 litres) pour le circuit solaire.
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37. La PAC air-eau avec un vase tampon au-dessous qui a été mis hors service dans la nouvelle configuration avec l'accu.
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38. Détail de la tuyauterie au plafond. En noir, la ligne solaire isolée qu'il afallu insérer entre les tuyaux du chauffage de l'eau froide et de l'ECS.
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39. Vue rapprochée sur les entrées/sorties ECS, le mitigeur avant isolation. On remarquera que les échangeurs sont "discontinus" comme c'est toujours le cas lors d'un assemblage ("soudage") sur place. Cela permet de sélectionner avec la vanne 3 voies l'échangeur du haut ou du bas au lieu d'ajouter un échangeur comme c'est le cas avec 2 échangeurs continus. REMARQUE SEBASOL : les siphons Runntudjuuu sont demandés au cours et on peut voir qu'ils sont faits sur le solaire et le sanitaire. On pourrait se dire que parce que les sorties charge et distribution vont déjà vers le bas (cf. remarque sur une image précédente), il n'est pas nécessaire d'insister à nouveau en partant vers le bas. La réponse est qu'il faut le faire quand même 1) les siphons de Jenni vers le bas sont pris dans l'isolation. Donc le tube chauffe et s'il est assez chaud cela peut lancer le thermosiphon interne au tube quand même, en particulier si le tube part vers le haut dès la sortie. 2) les installateurs chauffage étant ignorants de ce genre de détail, ils ne comprennent pas du tout pourquoi la sortie est vers le bas. Ca les dépasse la plupart du temps (cf. la remarque des 95% plus haut). De ce fait, ils partent de là n'importe comment et donc très souvent vers le haut. 3) en faisant un coude vers le bas, on force l'installateur à suivre le mouvement et on peut surveiller qu'il n'est pas pris de compulsions à "tourner ce machin vers le haut" et le stopper avant qu'il ne fasse l'erreur. On ne peut pas voir ici quelle est la configuration de chauffage, qui est placée derrière. Un détail : il n'y a pas de vannes d'isolation à la sortie visible sur le dessin, mais c'est difficile à savoir si c'est une sortie chauffage. Peut-être est-ce un départ pour la piscine. Les vannes d'isolation sont utiles pour le jour ou on voudra travailler sur le circuit chauffage. Sans elles il faudra vider le Jenni ou geler les tuyaux. Evidemment, pratiquement aucun installateur n'en met ; les problèmes de logistique à futur seront résolus par des devis futurs, lesquels seront payés par le portemonnaie du client. Il y a aussi la crainte - parfois justifiée - que la mise en place de vannes constitue un motif pour le client de faire n'importe quoi avec "pour voir" et une fois que plus rien ne marche alors "au secours l'installateur c'est de votre faute". Il y a hélas des cas comme ça. Mais pour un autoconstructeur le raisonnement est le suivent : toute réflexion présente qui permet un entretien ou une transformation simple de l'appareillage à futur est bon à prendre. Surtout quand les quelques dizaines de francs en plus peuvent épargner des devis futurs de plusieurs centaines de francs. Mais évidemment il y en a toujours qui veulent faire des économies de bouts de chandelle maintenant pour le plaisir de payer une addition mégasalée à futur. C'est en fait une constante de notre civilisation... REPONSE DE L'AUTOCONSTRUCTEUR: La configuration chauffage et charge ECS n'est pas visible dans cette présentation car située à l'arrière de l'accu et difficile à photographier par manque de recul. Les sorties chauffages, charge chauffage et charge ECS ont bien sûr toutes des vannes d'isolation (lire détail de la configuration sur la vue 33). On ne voit ici que les entrées/sorties en cuivre et isolées en noir des 2 échangeurs discontinus et les entrées/sorties ECS du champignon non encore isolées et le mitigeur.
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40. Oups il y a un bouchon inox qui goutte ! Heureusement il y a l'évier de la buanderie juste au-dessous. La goutte disparaitra au bout de quelques semaines.
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41. Tuyaux en PVC de la picine AVANT les travaux
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42. Les mêmes tuyaux un peu plus nombreux APRES les travaux. Le cylindre en forme de pot d'échappement est l'échangeur piscine pour chauffer ...la piscine quand il y a assez d'énergie dans l'accu. 43. CONFIGURATION PISCINE L'échangeur piscine est directement relié au circuit solaire via la vanne 3 voies (en jaune). L'idée est pour le moment de dévier MANUELLEMENT (via un interrupteur) le circuit solaire vers l'échangeur quand l'accu est assez chargé et que la météo le permette avec en plus une sécurité électrique empêchant de la faire losque la pompe de filtration est coupée (absence de flux primaire dans l'échangeur). Il y a en effet dans ce cas un risque de faire fondre les tuyaux de la piscine en PVC tout près de l'échangeur.
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44. L'échangeur piscine isolé. Il y a une vanne de trop mais l'idée au départ était de mettre des vannes avec vis de rappel pour pouvoir démonter et/ou mettre l'échangeur hors service plus facilement. Ayant oublié ce détail dans la commande, j'ai opté pour ce montage avec filasse et soudure. On distingue au fond la vanne 3 voies isolée.
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45. Thermomètre avec sonde insérée dans le doigt de gant de l'échangeur. Il a été récupéré sur le thermostat de l'ancien boiler. Il indique la température du bassin quand celle-ci est plus élevée que la température ambiante !!! Au dessus, une lampe témoin néon bricolée maison reliée en parallèle sur la vanne 3 voies pour nous indiquer par un coup d'oeil si on procéde au chauffage de la piscine ! REMARQUE APRES UN ETE (fin octobre 2008) : je n'ai pratiquement pas exploité cette option ce 1er été a) parceque j'ai de loin préféré utiliser cette précieuse énergie pour le chauffage nocturne entre saison (printemps et automne) , b) parceque l'eau de la piscine et le fond de l'air était suffisament chauds quand la famille a voulu prendre ses 1er et derniers bains... c) Enfin, je n'ai pas trouvé de "fenêtre de tir" pour "décharger" dans la piscine pendant les jours les plus chauds la température de l'eau étant déjà à 28 degrés durant cette période ! En fait, j'ai pu ainsi tester que le réfroidissement nocturne via les capteurs (géré automatiquement par la régulation) pendant les jours les plus chauds de l'année a parfaitement fonctionné. Mais gare aux années caniculaires ! Je n'ai pas abandonné l'idée de la couverture estivale totale ou partielle de mes capteurs mais je dois trouver encore comment la fixer sur mon toit ???
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46. Le champ solaire fini-terminé magnifiquement intégré sur son toit, prêt à produire gracieusement de l'énergie en déduction de la facture d'électricité du fournisseur romand qui en passant vient de nous annoncer une hausse des prix pour cet été (2008).
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47. Enfin "cerise sur le gateau", le même champ solaire un mois plus tard avec le coffret en bois confectionné maison peint ton sur ton, coffret pour dissimuler les tubes isolés de la ligne en façade et surtout pour protéger l'isolation haute température des UVs. La garniture en cuivre en bas protége le coffret des intempéries.
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