| On ne résiste pas à l'envie de montrer la maison. Le printemps y était si éclatant.
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| Quelques subtilités du montage du cadre en atelier. Cadre monté avec l'isolation et les capteurs en deux heures.
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| Vue du cadre pas encore fini.
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| Cadre fini à pied d'œuvre, prête à être monté. Cette manière de prémontage 'en bas' est à présent utilités par les autoconstructeurs également (cf. bientôt, installation Bromm et installation Gonvers). Nous avons là l'illustration de relations fécondes qu'il peut y a avoir entre les autoconstructeurs et les artisans, chaque catégorie 'piquant' des idées à l'autre en un va-et-vient incessant profitable à tous.
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| Le cadre est monté simplement à l'aide de cordes
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| Sous l'œil du propriétaire
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| Cadre à pied d'œuvre. On remarque la ligne de cuivre qui cours tout en haut. L'installateur a ici préféré passer le plus de longueur possible des lignes de distribution dans le cadre lui-même, au contraire d'autres qui préfèrent les passer à l'extérieur. De tels choix sont la plupart du temps déterminés par les contraintes du bâtiment et les goûts. Ils seraient beaucoup plus difficiles avec une technique pensée, non pas en termes d'adaptabilité, mais en termes de produits finis (comme par exemple des capteurs boites métalliques produits en usine).
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| Vitre du fond posée et crochets de même.
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| Vue du fond de champ.
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| Préparation du cable
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| Autre détail intéressant dans la problématique du coût matériel/travail telle que nous la traitons rationnellement au sein du Centre Régional. Il existe dans le commerce des lignes inox ou cuivre pré-isolées avec un cable intégré, nommées respectivement Inoflex (en inox), life-line, Onasol (cuivre) etc. Le prix net installateur pour du DN15/16 isolé en 13mm tourne autour de 45 à 50.- le ml de ligne aller retour avec le cable. De telles lignes sont donc pratiques car elle épargnent du temps. Par contre elles sont chères. Donc Nicolas Pahud y va de sa solution : il la fabrique lui même. Au coûts du cuivre que nous obtenons, un tel montage en 13mm revient environs à 14.- le ml ! Le gain est donc d'au moins 30.- le ml sur le matériel, qui est donc reporté sur le travail. Il y a donc du point de vue économique plusieurs avantages : 1) compression du coût du matériel ce qui diminue le risque financier et l'investissement pour l'installateur 2) report du bénéfice sur le travail et à notre sens, un report efficace. La preuve : sur une ligne de 15ml réalisée ainsi, le gain est de 450.- ce qui revient à 5.3 heures au tarif de régie de 85.- <=> il est clair que l'installateur n'a pas mis 5.3 heures à fabriquer sa ligne !!! <=> CQFD et après on va encore nous traiter d'amateurs... comme disait je ne sais plus qui, si je gagne 1 million je veux bien passer pour un amateur... et 3) la démarche est aussi importante en autoconstruction (c'est d'ailleurs l'autocontruction qui en est à l'origine) car elle prouve... qu'on peut se monter des life-lines pour 15.- le ml. Notez : 13mm c'est très peu et n'est accepté par le Centre Régional que pour passer dans des endroits étroits. Pour quelques francs de plus, on isole en 25mm, ce qui est nettement mieux que tout ce qui se fait sur le marché en matière de life-line. Donc qualité ET coût. A bon entendeur.
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| Détail de la ligne. Du cuivre isolé Vicu est utilisé mais ce n'est vraiment pas nécessaire…
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| Montage de la ligne et passage dans la courette
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| Résultat final après enrobage de ferblanterie. Joli, non ?
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| A l'intérieur les lignes courent, courent…
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| Jusqu'au chauffe-eau
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| Visible le vase d'expansion du chauffage. Et juste dessus, le départ vers le vase d'expansion du solaire.
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| Groupe hydraulique avec vase d'expansion, départ soupape etc. rien que de très classique
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| Départ de l'eau chaude. On remarque un départ vers le haut sans siphon, ce qui est faux, mais vu le manque de place il n'a pas été possible de faire le siphon ici.
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| On le fait plus loin, en partant vers le bas après mitigation. Une telle solution est possible mais moins efficace que le siphon directement en sortie de boillon. Il y aura quand même thermocirculation interne sur les 2m de tube jusqu'au mitigeur et ceci malgré l'isolation
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| Un défaut du chauffe-eau
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| A savoir qu'il faut entailler le plastique
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| Pour insérer le thermomètre livré avec le chauffe-eau. De tels défauts ne devraient pas exister sur un produit industriel.
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| Sur le toit, un zoom sur les abergements et le départ des lignes
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| Vue du champ finale
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