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Coopérative Areyna d'Avau (1696 Vuisternens-en-Ogoz) 105m2 ECS et appoint chauffage, chaudière bûche, distributions évoluées, ventilation low-tech, récupération de chaleur, flinguage d'électricité, séchoirS solaireS, tempérance UBT de serres, potentielle livraison de chaleur aux voisins, rénovation



Une réalisation de Guy Dafflon/ Chaleur Solaire, partie prenante au projet de l'Areyna d'Avau. Ce sera probablement le projet phare de Sebasol pour l'année 2020, et pas que dans le sens de l'exploit technico-économique. Mais aussi dans celui qu'il illustre ce que les mots "un autre monde est possible" veulent dire. Vous pourrez en savoir plus sur ce projet dans une journée de présentation publique qui aura lieu à Vuisternens-en-Ogoz le 25 mai 2019.


Fédérateur et écologique

Il s'agit rien moins que la revitalisation d'un centre de village, via la rénovation d'une ferme traditionnelle en locatif multi-appartements, un restaurant, une salle de réunion/spectacle pour les sociétés locales, plus des applications de type artisanat et industrie de proximité. Le tout à 100% renouvelable et local et low-tech. L'agriculture sera réencastrée dans le projet : le restaurant achètera la production locale, des séchoirs solaires en tout genre seront utilisés pour leur valorisation (fruits & légumes, mais aussi bois pour booster l'efficacité des chaudières et diminuer la production des particules fines qui échapperont au filtre), et le solaire servira à la tempérance de serres agricoles pour des productions spécifiques.


Un projet qui n'aurait pas été possible sans Sebasol

On pourrait se dire que c'est déjà beaucoup, MAIS VOUS ETES LOIN DU COMPTE : c'est un projet porté par un installateur agréé Sebasol, une personne qui a suivi une formation de plusieurs années chez nous qui lui fut gratuite voir http://www.sebasol.info/public/Cursus%20Sebasol%206.0.pdf (et bien d'autres choses sur http://www.sebasol.info/membres.asp?membre=apprentis). Rien que la description de cette formation montre 15 ans d'avance sur les discours en matière de promotion du travail humain et de relocalisation économique.

Une formation dont à présent il vit, lui et sa famille, faisant ainsi de ces réalisations folles sans l'aide d'aucune expert et autre profession mutilante. Avec lui il y a bien sûr Sebasol et la communauté des autoconstructeurs, dont il reprend beaucoup de résultats et applications low-tech sur le projet, tout en en poussant d'autres, qui serviront en retour. Et dire que tout cela n'a coûté et ne coutera (pour cause d'ostracisme cf plus loin) pas un franc de la Confédération, et donc de vos impôts. Relisez cette phrase pour comprendre le sens des mots "un autre monde est possible".


De l'énergie répartie sur de multiples usages

Comment êtes-vous loin du compte ? Outre l'eau chaude sanitaire et le chauffage pour toutes les fonctions du bâtiment via stockage dans une cuve de 15'000 litres d'efficacité label A et pourtant low-tech, car sans aucune électronique embarquée, il y aura plein d'autres applications que cette cuve justement permet. Ainsi l'élimination de quantités d'électricité - y compris l'hiver - via la production de la chaleur sans passer par des machines nullissimes qui font de 2 à 5 de chaleur avec 1 d'électricité, mais par d'autres - en plus low-tech et réparables et sans gaz à effet de serre surpuissant dans leurs circuits - qui vont entre 250 et 1000 de chaleur avec 1 d'électricité. Et le stockage d'énergie permettant de remplacer cette électricité, au coût de 50.- le kWh pour cette cuve capable de stocker plus d'un MWh. Et donc la durée de vie est estimée à au moins un siècle, et avec un impact environnemental qui est celui de l'eau du robinet utilisée une et une seule fois. On vous laisse comparer avec le coût du stockage, la durée de vie, et la toxicité des batteries telles que vous les entendez en général, du fait qu'on vous met des oeillères bling-bling à ce sujet.

Des machines qui ne vont donc pas faire augmenter la demande électrique de pointe en hiver, impossible à couvrir avec le photovoltaïque, et donc qui - elles - n'augmenteront pas la dépendance au charbon Merkel ou au nucléaire Macron sous le prétexte mensonger de la réduire. Nous parlons de Merkel et Macron car ce texte est écrit en 2019, mais à l'avenir on remplacera ces deux-là par d'autres pions interchangeables qui vont nous faire la même chose tout en disant qu'ils font du changement. Ce n'est pas de leur côté - ni des nôtres qui sont les mêmes - qu'un autre monde est possible.


De l'économie de ressources et des applications insoupçonnées

Il y aura aussi récupération sur les groupes de froid nécessaires au restaurant (en attendant qu'à futur Sebasol s'attaque à une solution d'un facteur 10 à 1000 moins gourmande, tout en étant plus low-tech et indépendante du réseau ? on va encore se faire des amis du côté des amateurs de rentes de situation). Et des mesures pour diminuer la consommation électrique hivernale de ces groupes. Et a récupération de chaleur du restaurant - en particulier le four à pain - pour la distribuer aux autres fonctions du bâtiment. Et des séchoirs en tout genre en été comme il a été dit. Et de la tempérance de serre agricole via l'opération de l'installation solaire de 105 m2 en UBT (pour "ultra basse température") comme il y a été aussi dit. Et le couplage de toutes les machines qui bouffent néolithiquement de l'électricité sur l'eau chaude (comme les lave-linges, lave-vaisselle, et séchoirs en buanderie).


Un mini-réseau comme cadeau bonus ?

Et enfin et ce n'est pas des moindres, si il y a accord, livraison de chaleur en été pour soutenir la consommation ECS de locatifs adjacents dont les PPEs sont en conflit avec les prestaires de leur pompes à chaleur. Qui sont, la Confédération le dit alors ca doit être Pravda, le Progrès. Sauf que cette partie du projet doit recevoir l'aval des dites PPEs. Ce qui risque d'être une gageure. D'une part parce qu'une PPE est une machine à rien décider. Et d'autre part parce qu'une PPE c'est "une femme sous influence". De tous les prestataires de services payants et via abonnements qui l'on mise sous dépendance. Note : ceux de vous qui croient que c'est différent pour une coopérative, se trompent. On le voit bien à Sebasol ; au-delà du mantra sympathique qui permet souvent à des coordinateurs de coopératives de venir se payer sur le crédit obtenu par la coopérative, leur dépendance à la technique et aux monopoles est le même que pour les PPEs.


Les plus hautes autorités en irréalité virtuelle

Qu'en est-il de l'aide de la Confédération pour ce projet ? La réponse est : nada. Comprendre pourquoi est simple : c'est pas du high-tech bling-bling qui coûte la peau des fesses, qui permet de surveiller/vendre les données personnelles des gens sous prétexte de sauver la planète, et dont on sait pas s'il marchera un jour. Lequel sera peut-être trop tard vu la vitesse à laquelle la catastrophe nous arrive dessus. C'est la mise en synergie de techniques low-tech dans un projet à composante sociale qui va générer d'autres synergies etc. Mais ces techniques elles marchent, et leur couplage comme dans ce projet est d'une efficacité folle, et cela sans le moindre besoin d'une hiérarchie d'experts. Ce qui n'est donc d'aucun intérêt pour une Confédération dont la stratégie est de plus en plus souvent de faire semblant de faire quelque chose. Quand elle ne fait pas pire tout en appelant cela mieux, comme l'a montré le Conseil Fédéral, pourtant supposé défendre notre santé, en relevant les normes pour les pesticides. Ou le conseil national, pourtant supposé défendre nos emplois, en s'opposant aux initiatives agricoles. Que la Confédération ne soit pas intéressée est donc un signe que le projet est bon.


Une commune qui en a besoin.

Enfin, un dernier mot pour l'histoire locale : "Ce n'est donc pas qu'en Valais que la filouterie parait, nous au pays aussi on vit de belles escro-queries, nous au pays aussi on vit, de belles es-cro-que-ries". Vous pardonnerez cette mise aux couleurs locales d'une célèbre chanson de Georges Brassens. La commune de Vuisternens-en-Ogoz revient en effet de là. Il y a quelques années le responsables des finances communales s'envola sous d'autres cieux avec la caisse, et donc mit la commune sur la paille. Ce qui a nécessité sa mise sous tutelle. Cette période noire est à présent derrière, et la commune, fusionnée avec d'autres, peut recommencer à voler de ses propres ailes. Un projet comme celui de l'Areyna d'Avau, en plus de ses autres qualités pour un futur différent pour nos sociétés, dans un contexte ou les choses commencent ENFIN à bouger (par exemple la Commune de Charmey a refusé de perfuser une fois de plus le tonneau des danaïdes de ses remontées mécaniques) est pertinent partout. Mais il l'est donc d'autant plus à Vuisternens-en-Ogoz.


Venez tous le 25 mai

Rappel : vous pourrez en savoir d'avantage sur ce projet dans une journée de présentation publique qui aura lieu à Vuisternens-en-Ogoz le 25 mai 2019. Sebasol, de nombreux autoconstructeurs de la communauté, des installateurs, des entreprises locales, les autorités de la commune, et on espère d'autres acteurs de l'espoir véritable, seront présents.



Galerie

Le projet en travaux tel qu'il était autour de 2018
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Et à ce moment, l'instroduction du 'crayon' qui est l'accumulateur combiné, soit le stockage, soit la BATTERIE pour utiliser un mot smart. Donc du stockage mais bien plus que du stockage. Car elle ne fait pas que cela. Elle permet de récupérer, charger et distribuer toutes les énergies thermiques émises dans le bâtiment. Soit le solaire thermique, le bois, le four à pain, la chaleur émise par les groupes frigorifiques exigés à un restaurant. Pour la distribution ce sera l'eau chaude sanitaire et le chauffage pour des appartements, un restaurant, une salle de spectacle/de rencontre, une écurie, une serre agricole, des séchoirs à fruits, légumes, bois, champignons, allez savoir, les machines à laver le linge et la vaisselle, un lavoir extérieur, de la pasteurisation, et s'ils sont d'accord, ce qui est peu probable quand bien même cela améliorerait leur ordinaire, la livraison de chaleur aux immeubles voisins. C'est tout cela qu'elle fait cette cuve qui est donc 'plus que du stockage'. Et qui stocke pourtant le kWh pour un prix de 40.- si on calcule en coût instantané (= prix divisé par la capacité de stockage). En comparaison, une batterie chimique est autour de 500.- le kWh.

Mais cela ne veut rien dire car cela ne prend pas en compte d'autres aspects de tous les stockages : le nombre de cycles de stock-destock pour une durée de vie standard, et la durée de vie en question. Ici c'est simple : au contraire d'une batterie chimique, le nombre de cycle de stock-destock est INFINI car le moyen de stockage est de l'eau inerte, qui ne va pas changer de propriété avec l'usage. Il n'y a aussi aucune contrainte de % maximum de décharge sur la durée de vie pour les mêmes raisons. Pour faire comprendre cela deux exemples,

1)une batterie au plomb même résistante de type cabane de montagne ne doit jamais être épuisée de plus de 50%, et on essaiera de ne jamais descendre en-dessous de 80% de charge si on veut pas voir sa durée de vie drastiquement chuter.
2)les batteries high-tech des voitures électriques doivent être remplacées dès que leur capacité tombe en-dessous de 80% de celle de départ, car à ce moment elles non plus la capacité de fournir la puissance nécessaire aux reprises. Et à ce moment il faut soit la down soit la recycler, et c'est de l'énergie et de la pollution à nouveau. Hé oui, c'est cela 'l'efficacité géniale' de la mobilité électrique...

Vous commencer à présent à comprendre on espère. Or ici avec l'eau du robinet on a aucun de ces problèmes de 'fausse capacité', d'épuisement par mésusage, et de baisse de performance au fil du temps. Et la durée de vie d'un tel stockage est est au minimum d'un siècle, et sans produits chimiques ni impact environnemental.

Donc imaginons en étant gentils qu'une batterie chimique tienne 10 ans, qu'elle soit low ou high-tech, et que le nombre de cycles de charge-décharge pendant ces 10 ans est - c'est gentil vu que de l'autre côté il est infini - de 10x moindre que celui de ce stockage. Le coût du stockage du kWh sur la durée de vie va donc être de 500/10 = 50 francs. Ici il va être de 40/(100*10) = 4 CENTIMES, soit un facteur 125 de différence. Si en plus on introduit dans le coût de la batterie chimique celui de son recyclage et celui du travail pour l'entretien et son changement, on arrive sans peine à un facteur 1000 de différence. Et on ne prend pas en compte les problèmes écologiques liés à la chimie, ou bien ceux liés au désastre environnemental nécessaire pour produire les dites batteries. Vous savez : le type de désastre qui a produit le Covid-19. Et bien sûr on ne va pas internaliser dans le coût de la batterie la part qui lui est imputable - par exemple via le chiffre d'affaire de la province chinoise du Wuhan - de ce désastre. Ce serait trop policically incorrect. On pourrait nous accuser d'être 'contre la nouveauté qui innove le progrès' quand bien même cette part est gigantesque au point que nul esprit rationnel ne penserait plus jamais à .... produire des batteries !
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Passons à une autre image pour ne pas mettre tout le texte en face de la même. Il a été dit que le stockage ci-dessus ne fait pas que stocker, au contraire d'une batterie chimique qui elle, ne fait que cela. Si on en sortait tout ce qui est inclus et sert à distribuer l'ECS et le chauffage et aussi, de la même manière qu'on sortirait l'onduleur et le tableau électrique et le redresseur de courant et tout ce qui est nécessaire à charger une batterie à partir de panneaux photovoltaïques par exemple, alors le cout du stockage serait de l'ordre du 1/3 et donc selon le calcul plus haut, de 15 francs en instantané, et de 1.5 centimes sur un siècle de durée et avec les coûts d'entretien et de remplacement on serait à un facteur 3000 de différence.

Mais les gens qui font du low-tech c'est eux les cons, surtout ne le dites à personne :-)
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Avril 2020. Vue du champ de capteurs. Il ne faisait pas très beau à ce moment là. Ca s'est découvert juste après.
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Vue ici d'un des éléments qui permet de mettre la barre à neige tout en bas. Ces éléments ont été faits à façon et font partie des trouvailles qui permirent une intégration exemplaire des capteurs, au point que la réalisation va être citée comme exemplaire par les monuments historiques du canton de Fribourg.

Car les gens qui ont fait cela respectent le patrimoine. Ils sont pas tout fiers de dire qu'en vomissant des capteurs sur les tuiles ceux-ci ne comptent pas dans la valeur du bâtiment (tout en exigeant d'avoir des subventions !) et que par conséquent cela va permettre de gagner quelques rogatons de plus sur la spéculation sur la vente de l'énergie. Saloper le monde pour gagner quelques rogatons, voilà où en sont arrivées les énergies renouvelables. Vous voyez une différence entre cette attitude et celles de Dow Chemical, Nestlé, Novartis, Xstrata ou Monsanto ? Exact, y en a pas.
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On commence pas les bas, en montrant la chaudière à buche de 40 kW qui fera l'appoint en hiver.
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Ensuite le stockage. Vu la taille, il est évidemment impossible d'en faire une seule photo. Ici c'est tout en bas dans la chaufferie et c'est le bas du stockage, avec tous les départs de distribution etc.
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La cuve, on le voit sur l'image de la grue qui l'amène, est un 'crayon' : son diamètre n'est que de 1.7m AVEC l'isolation. Donc on peut le caser sur une surface au sol de 2x2, et il ne prend donc pas tant de place que ça dans le bâtiment. En tout on aimerait bien voir la place que prendraient les 62 batteries high-tech de 6 kWh qui - avec un COP de 3 - devraient remplacer ses 1120 kWh de capacité de stockage, on le répète pour 100+ ans avec un nombre de cycles de charge/décharge infini et pas de baisse de performance. Pas sûr que ce soit moins facile à caser :-))

On voit aussi que la chaufferie n'est pas au niveau de sa base, mais un étage au-dessus, ci fait cet effet de fosse. Ici de chaque côté on voit les 2 vases d'expansions rouges de 600L chacun, qui vont encaisser le changement de volume de ses quelque 16'000L à mesure que ceux-ci vont être chauffés (15'100L de cuve Jenni, et 1000L de chauffe-eau en post chauffage/brassage sur le premier, pour éponger les futures pointes entre le restaurant et les appartements. Or en été la température max du tout sera de 99 (nonante neuf) degrés par moments, ce qui représente environ 4% d'augmentation de volume.
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Autre vue de la fosse, qui permet de voir comment on accède
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Autre vue d'en bas.
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Et puis on monte (mais toujours en chaufferie)
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Guy Dafflon, autoconstructeur Sebasol devenu installateur agréé, devant son oeuvre, et le mot n'est pas trop fort.
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A un étage intermédaire dans le bâtiment, le stockage est protégé par un mur, avec des ouvertures qui permettent d^'accèder aux divers sondes. Les piquages ne sont pas faits comme pur les installations plus petites, soit à l'extérieur par les autoconstructeurs/installateurs. Ils sont posés d'usine et amenés à la hauteur voulue, sous l'isolation, elle aussi faite d'usine. pour de gros stockages comme celui-là c'est le plus rationnel (car isoler un truc ce 15m de haut sans des échaaudages tout autour c'est la galère !). L'isolation et de 200mm
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Vue d'une ouverture
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Et ici d'une autre
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Encore une vue. Tout cela n'est pas encore très joli mais déjà fonctionnel. Pour le joli il faudra attendre quelques mois encore.

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Ici on est tout en haut du bâtiment, c'est le vase d'expansion solaire. Il ne fait que 200L pour 105m2 de capteurs, justement parce qu'il été possible de le placer tout en haut. Subtilité d'installateur sebasolien.
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Vue sur la régulation, évidemment équipée du comptage de chaleur, d'une semaine de production en avril 2020, au moment ou la T moyenne dans la cuve est de l'ordre de 70°C, ceci parce que le bistrot n'est pas encore ouvert et les appartements pas encore attibués, et donc que les besoins sont faibles. On peut voir néanmoins que dans les beaux jours la production est de l'ordre de 500kWh, soit 50L de mazout équivalent par jour. Ca fait donc 5 kWh/m2 jour. Une très bonne production déjà
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Vue de la régulation, ici ouverte.
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Et ici une vue du circulateur. Vous pouvez lire 89 W. En fait, c'est la consommation au moment de la prise de la photo, il y faisait bien du soleil. L'installation étant en débit variable, s'il y a moins de lumière elle estmoindre. Mais gardons cette grandeur, car elle permet de faire un petit calcul à suicider un vendeur d'électricité. Disons que les 500 kWh par jour aient été produits sur environ 7h de fonctionnement avec la puissance en question. Ce qui fait donc une consommation électrique de 7*0.089 = 0.623 kWh ou 623 Wh. Donc alors on aurait produit 500 kWh ou 500'000 Wh avec 0.623 ou 623. Ca fait un COP journalier de l'ordre de 800. On vous le réécrit en toute lettres et on explique : huit cent. Ca veut dire qu'on produit 800 de chaleur avec 1 d'électricité. Pour comparaison une pompe à chaleur à air c'est entre 2 et 3 et une à sonde entre 3.5 et 4. Vous comprenez à présent pourquoi le vendeur d'électricité il va se suicider.
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Et ici le compteur de chaleur.
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Mais il n'y a pas que la technique. Ce serait dommage de pas en remettre une couche anti-spéculateur en montrant quelques images de mise en valeur du patrimoine. Chose qui ne préoccupe que les 'petits' et pas trop nos élites technocratiques qui elle ne jurent que par le progrès-plus-loin-que-l'infini qui détruit tout (mais comme le nier ne fait pas mal, elles peuvent le faire). Ici la façade du restaurant
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Et son entrée
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L'entrée traditionnele de la grange à foin, qui sera réhabilitée en entrée de la salle de spectacle.
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Une inscription sur cette entrée, dont plus personne ne sait, à notre connaissance, pourquoi elle fut gravée à l'origine
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