| L'auto-construction et l'auto-constructeur. 1 |
| Le champ de 5x2 capteurs est monté en façade du balcon et est supporté par 4 poteaux ancrés dans le sol. 10 |
| Une des joies de l'auto-construction, c'est la personnalisation. 20 |
| Un des services génial de Jenni, c'est que lorsque l'espace est serré (portes de 80cm, hauteur limitée), ils livrent l'accumulateur en 3 'rondelles' et viennent les souder sur place. L'opération dure une journée complète, à laquelle l'auto-constructeur participe activement. Ici, l'assemblage final (avec le sourir) avant le soudage de la 'rondelle' du bas. 30 |
| Les connexions au Jenni. Il reste à finir d'isoler. 50 |
| Détail de la structure porteuse du champ. C'est un assemblage vissé et entièrement fait maison. 60 |
| Lorsque le soudage de l'accu est terminé, le technicien de Jenni procède à un contrôle rigoureux des fuites. Dans notre cas, il y avait 3 fuites qui ont été rebouchées lors de cette phase. Chaque point de contrôle est validé par une marque à la craie. Puis il faudra le peindre, l'isoler et le connecter... COMMENTAIRE SEBASOL : pour le soudage sur place comme si vous y étiez http://www.sebasol.info/realisations.asp?id=885&r= ou bien utilisez l'outil de recherche et cherchez PELLET, La Sarraz 60 |
| La connexion du Jenni en cours. 61 |
| La connexion du Jenni terminée. 62 |
| Validation des premiers tronçons. Avant de me lancer dans le brasage des tubes du circuit solaire, j'ai mis les serpentins du circuit solaire sous pression d'air. Effectivement, j'ai préféré valider l'étanchéité des premiers tronçons (ceux qui sont noyés dans l'isolation périphérique du Jenni) avant de poursuivre le brasage du circuit solaire. Pour cela, un petit compresseur et des bouchons décrits sur une autre photo. 64 |
| Les bouchons. A l'aide de ces pièces, on peut mettre un circuit (en D=22mm) sous pression. Je les ai fabriquées pour mettre sous pression d'air (env. 5 bars) les serpentins. Elles présentent l'avantage de ne pas endommager le tube sur lequel elles sont fixées. La partie supérieure de la photo montre les 2 pièces qui composent le bouchon. La pièce avec les 2 joints toriques se glisse à l'intérieur du tube tandis que la seconde pièce se glisse sur l'extérieur du tube. Un collier de serrage permet de verrouiller l'assemblage. La partie inférieure de la photo montre le tout assemblé sur un morceau de tube. Avant de l'utiliser, j'ai vérifié que le montage résiste à une pression statique d'env. 20 bars en suspendant une masse de 70kg à l'assemblage. 66 |
| La chaudière à gaz, qui était existante, a été intégrée dans le nouveau circuit. 70 |
| L'ossature bois du champs solaire. Le chanfrein à 45° pour la ferblanterie sur le longeron du bas se fait avant son montage dans le champs. 79 |
| Le cintrage des tubes lors de la fabrication des absorbeurs. Un petit truc facile qui simplifie la vie: le tendeur élastique pour maintenir le tube à sa place dans le guide (merci Cédric). 81 |
| Le serpentin d'un absorbeur après cintrage. 82 |
| Le serpentin d'un absorbeur prêt à être brasé. 83 |
| La pose des absorbeurs dans le champ. 89 |
| L'installation utilisée pour traçer et percer la ferraille de la stucture métallique. 150 |
| Le champ de capteurs est monté en façade du balcon. Avec une orientation plein Sud, une inclinaison de 60° et une hauteur à 2m du sol, nous n'avons aucun problème lié à l'éventuelle accumulation de neige. Pour un site de montagne, c'est un paramètre vraiment important. 160 |